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Manger une crème glacée à Paris

Où manger les meilleures crèmes glacées de Paris ?

La crème glacée reste toujours en vogue auprès des fins gourmets. En période de chaleur, manger une glace est la meilleure solution pour se rafraîchir et passer la journée le sourire aux lèvres. La crème glacée, les parisiens en raffolent et c’est ce qui encouragent les glaciers à redoubler d’inventivité pour proposer des choix de parfums et autres créations givrées originales et inédites pour satisfaire tous les palais. Car oui, derrière ce feu d’artifice de saveurs, se cachent des artisans aux doigts de fée, avides de toujours satisfaire les amoureux de la glace. Laissez-vous tenter par les meilleurs glaciers de Paris et allez à la rencontre de nouvelles expériences gustatives.

La crème glacée : une invention soigneusement élaborée par les italiens

Une légende raconte que c’est en Chine que la crème glacée a été inventée, il y a cela plus de 3000 ans. Mais selon d’autres sources, celle-ci existait déjà au temps de Claudius, 41 à 54 après J.-C, avec la création des « nivatae potiones » ou véritables desserts froids. On dit qu’il faisait venir de la neige des hautes montagnes que l’on conservait dans des glacières creusées dans le sol et que l’on badigeonnait d’arôme de fruits pour obtenir une glace parfumée. Mais, la « vraie » crème glacée, comme nous la connaissons, voit le jour au 16ème siècle.

C’est notamment la ville de Florence qui a revendiqué l’invention de la glace « moderne », première à utiliser le lait, la crème et les œufs. Une innovation gourmande qui est due à l’architecte Bernardo Buontalenti. Rappelons aussi qu’un cuisinier de Palerme, Francesco Procopio dei Coltelli, installé à Paris à la cour du Roi Soleil, a ouvert le premier magasin de glace de l’histoire : le célèbre café Procope.

Mais l’histoire de la glace a officiellement débuté lorsque l’Italien Filippo Lenzi, à la fin du 18ème siècle, a ouvert le premier salon de dégustation de glaces sur le sol américain. La glace a rencontré un tel succès qu’elle a donné le jour à une nouvelle invention : le sorbet à manivelle, breveté au 19ème siècle par William Le Young. Puis à la fin des années 40, en 1948 précisément, le premier sorbet industriel voit le jour, suivi par la création du fameux cône gaufré qui voit le jour au début des années 50. Depuis, la crème glacée se déguste sous toutes les formes tout au long de l’année.

Quels types de glaces connaissez-vous ?

Nul besoin d’être un fin connaisseur pour citer les différents types de glace. La plus connue de toutes est la glace en cornet gaufré, dont on ne s’en lasse jamais surtout les plus petits. Elles se vendent en magasin dans les bacs surgelés, mais aussi elles sont servies chez la plupart des glaciers artisanaux. Nous connaissons bien sûr les glaces proposées en pot par les marques Haägen Dazs ou encore Ben & Jerry, à déguster devant une série Netflix ou pour faire passer un chagrin d’amour… Si vous êtes plutôt promenade et sortie entre amis en ville, optez pour celles commercialisées en bâtonnets et continuez votre chemin. Pour les sorbets c’est la même chose, ils sont aussi bien vendus en pots qu’en bâtonnets.

Savez-vous faire la différence entre sorbet et crème glacée ?

Si l’on compare les deux, la différence notable tient à la présence de matières grasses dans la crème glacée alors que le sorbet n’en contient pas. La crème glacée préparée à base de lait, de crème et d’œufs demeure très riche en calories, alors que le sorbet est un mélange de sirop et d’eau. Ce dernier est léger en bouche avec une note de fraîcheur que l’on assimile la plupart du temps aux fruits. Quant à la crème glacée, les parfums ne se limitent pas qu’aux fruits, il en existe une multitude ! Enfin, il ne faut pas oublier son onctuosité qui satisfait les palais les plus gourmands.

Rien ne vaut une glace artisanale : Découvrez nos meilleures adresses à Paris

Nous avons sélectionné pour vous le meilleur pour la fin, c’est à dire la liste de nos glaciers parisiens préférés et nous vous invitons à faire votre choix gourmand :

“Une Glace à Paris”, située 44 rue des Abbesses dans le 18ème arrondissement propose des spécialités bien à elle comme des douceurs givrées aux parfums atypiques dont l’ail noir, le curcuma ou encore la fleur de lavande. Nous retrouvons aussi « Glazed », nichée 54 rue des Martyrs dans le 9ème arrondissement. La boutique revisite des parfums atypiques avec comme spécialités des combinaisons de choc : rhum-citron-menthe, vanille-graine de chanvre. A apprécier également les créations givrées de « La Glacerie Paris », située 13 rue du Temple dans le 4ème arrondissement. Célèbre pour ses barres glacées et ses tubes, Le Glacier Pierre Geronimi, 5 rue Férou (6ème arrondissement), mettra vos papilles en fête avec ses spécialités Vanille de Tahiti et agrumes de Corse. D’autres excellentes adresses retiennent notre attention dont celles de l’un des meilleurs chocolatiers de la place «Jacques Genin». Sa boutique se trouve au 133 rue de Turenne dans le 3ème arrondissement. Mais surtout vous ne pouvez pas passer à côté des sorbets aux fruits de « Berthillon », dont la boutique se trouve au 29-31 rue Rue Saint-Louis en l’Île (4ème arrondissement). Pour des saveurs d’ailleurs, «La Maison d’Aleph» située 20 Rue de la Verrerie dans le 4ème arrondissement, propose des spécialités axées sur la pâtisserie orientale revisitée. Sa glace à la fleur d’oranger artisanale est un véritable délice ! Enfin si vous cherchez de l’authentique rendez-vous chez « Bachir » et goûtez sa fameuse glace ashta, au 58 rue Rambuteau dans le 4ème arrondissement.

Source image mise en avant © Brooke Lark – Unsplash

Fêter Noël et Jour de l’An autour d’un plat africain à Paris

Trouver une idée originale de cadeau ou de soirée pour ces fêtes de fin d’année relève presque du défi. Surtout que la crise économique et les volontés d’économiser de précieux sous ne donnent pas un choix extravagant pour passer de bonnes soirées originales pour Noël et Jour de l’An.

Le Restaurant à Paris Tanganyika vous offre un cadre idyllique pour des soirées originale avec votre épouse ou votre famille pour manger un repas africain accompagné de vins français issus d’une cave entretenue et d haute volée. Si vous désirez rester chez vous, un service traiteur africain vous cuisinera ses meilleurs plats africains pour diner en famille pour des fêtes de Noël ou Jour de l’An.

Pensez Africain pour un cadeau inoubliable ou une soirée originale, chez vous, ou dans notre restaurant en plein centre de Paris au cadre original et calme.

Un aperçu peu réjouissant du changement climatique en Afrique

Si les nouveaux rapports et estimations concernant l’impact du changement climatique ne manquent pas, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) conserve en la matière une position d’autorité.

L’édition 2009 de l’Étude sur la situation économique et sociale dans le monde, un rapport publié chaque année par le Département des Affaires économiques et sociales des Nations Unies, est consacrée à la question du changement climatique. Certains effets importants du changement climatique dans différents pays africains y sont présentés sous la forme d’un guide accessible et quelque peu troublant, réalisé à partir des rapports du GIEC.

Voici ici un aperçu des grandes lignes de ce guide.

Sécurité alimentaire

Afrique du Nord, du Maroc à l’Egypte

D’ici 2100, la production agricole pourrait subir des pertes correspondant à entre 0,4 et 1,3 pour cent du Produit intérieur brut (PIB) moyen.

Égypte: d’ici 2050, les hausses des températures risquent de provoquer une baisse de la production de diverses cultures céréalières, allant de 11 pour cent pour le riz à 28 pour cent pour le soja.

D’après les prévisions, les précipitations devraient décliner, ce qui aurait une incidence sur le débit du Nil, tandis qu’une hausse du niveau de la mer affecterait la production alimentaire dans le delta du Nil.

Afrique de l’Ouest

D’ici 2100, la région pourrait subir des pertes agricoles représentant deux à quatre pour cent de son PIB moyen. La hausse des températures moyennes annuelles à l’échelle planétaire provoquerait un réchauffement des mers, qui affecterait les activités de pêche dans le nord-ouest de l’Afrique.

Golfe de Guinée : Les activités de pêche et d’aquaculture des lagunes sont menacées par la destruction des plages qui délimitent les lagunes côtières, car ces barrières naturelles très peu élevées ne résisteraient pas à la hausse du niveau de la mer. La modification des régimes pluviométriques pourrait en outre affecter la quantité d’eau présente dans les cours d’eau qui alimentent les lagunes.

Guinée : Entre 17 et 30 pour cent des rizières existantes pourraient être inondées de façon permanente d’ici 2050.

Bénin et Côte d’Ivoire : Les inondations risquent d’entraîner la salinisation des terres du littoral, ce qui représente une menace pour la production d’huile de palme et de noix de coco.

Afrique de l’Est

D’après les prévisions, les précipitations devraient augmenter dans certaines zones de la région. La vie végétale et animale du Lac Tanganyika pourrait être réduite d’environ 20 pour cent, et les rendements de la pêche risquent de diminuer de 30 pour cent.

Au Kenya, une hausse d’un mètre du niveau de la mer pourrait affecter la production de mangues, de noix de cajou et de noix de coco, provoquant des pertes de près de 500 millions de dollars par an.

Du côté des effets positifs du changement climatique, on peut citer les hautes terres d’Éthiopie, où la saison de croissance est susceptible d’être allongée par les effets combinés de la hausse des températures et de l’amélioration des précipitations.

Afrique australe

Les phénomènes El Niño – augmentation des températures des eaux de surface de l’Océan Pacifique central et oriental – risquent de devenir plus fréquents, ce qui perturberait les précipitations et provoquerait indirectement une baisse sensible de la production de maïs.

En revanche, en raison de l’augmentation des températures et du niveau des précipitations, la saison de croissance pourrait durer plus longtemps dans certaines zones de l’Afrique australe, comme le Mozambique.

Afrique du Sud : La production céréalière sud-africaine, qui est la plus importante d’Afrique, pourrait voir ses recettes nettes baisser de 90 pour cent d’ici 2100.

Ressources en eau

Afrique du Nord

Le nombre de personnes concernées par le stress hydrique pourrait augmenter d’ici 2055, en particulier en Egypte, où, dans un contexte de forte croissance démographique – la population devrait atteindre entre 115 et 179 millions d’ici 2050 – les besoins en eau seront sans doute de plus en plus importants, du fait de la hausse des températures.

Afrique de l’Est et de l’Ouest

Selon les prévisions, les précipitations devraient augmenter dans ces régions, ce qui conduirait à la multiplication des sécheresses dans l’est du continent, et des inondations dans l’ouest.

Afrique australe

Dans la région, des zones étendues subissent déjà des pénuries d’eau ou doivent lutter contre la désertification croissante liée à l’aridité du climat. On peut donc s’attendre à ce que le nombre de personnes confrontées au stress hydrique augmente d’ici 2055, du fait de l’irrégularité ou du déclin des précipitations.

Santé

Afrique de l’Ouest

Bonne nouvelle ! D’ici 2050 et au-delà, une grande partie de l’ouest du Sahel sera probablement devenue impropre à la transmission du paludisme.

Afrique de l’Est

D’après des études portant sur les parasites, les hautes terres d’Éthiopie, le Kenya, le Rwanda et le Burundi, qui sont pour l’instant épargnés par le paludisme, pourraient subir de modestes incursions du parasite d’ici 2050, et devenir totalement propices à la transmission de la maladie d’ici 2080.

Dans certaines régions de Somalie, qui présentent actuellement de faibles taux de paludisme, la prévalence de cette maladie pourrait fortement augmenter.

Les épidémies de fièvre de la Vallée du Rift – qui ont été particulièrement importantes lors de l’événement El Niño de 1997-1998 en Afrique de l’Est, et qui sont liées aux inondations – pourraient devenir plus fréquentes et toucher des zones plus étendues, en raison de la multiplication des événements El Niño.

Afrique australe

Le paludisme risque de toucher des zones de plus en plus nombreuses. On prévoit en effet une expansion vers le sud de la zone de transmission, qui affecterait le Zimbabwe et l’Afrique du Sud.

Certaines parties des hautes terres de l’Angola, où les cas de paludisme sont aujourd’hui relativement rares, pourraient devenir tout à fait propices à la transmission de la maladie d’ici les années 2080.

Recette du Gari aux crevettes

Préparation : 10 minutes

Cuisson : 20 minutes

Ingrédients (pour 4 personnes)
– 1 bol de Gari (farine de manioc)
– 1 bol 1/2 de crevettes
– 500 g de tomates fraîches
– 2 oignons
– 4 cuillères à soupe d’huile
– piment, sel

Préparation
Faites tremper le Gari quelques minutes dans une tasse d’eau froide. Dans un poêlon, faites revenir les oignons émincés, les tomates coupées en morceaux et le piment dans 4 cuillères à soupe d’huile. Salez.
Lavez les crevettes. Versez dans la poêle la farine de manioc et les crevettes bien égouttées. Mouillez d’une louche d’eau chaude, bien mélanger. Lorsque le Gari à ramolli et est devenu compact, retirez du feu. Vous pouvez servir garni d’oignons frits. Une recette africaine délicieuse.

La variante Gabonaise
Au Gabon, le Gari se mange soit cru (dans un bol, verser une dose de Gari et deux doses d’eau, laisser reposer quelques minutes le temps que les grains ramollissent, puis rajouter du sucre ou du lait concentré sucré tout en mélangeant et c’est prêt), soit cuit (dans une casserole, porter à ébullition 1/2 litre d’eau salée avec une cuillère à soupe d’huile, puis avec une cuillère en bois remuer tout en versant en pluie 250g de Gari et continuer à mélanger à feu doux jusqu’à cuisson, environ 3 minutes. Puis mettre la boulette de Gari dans un plat, la trancher et servir chaud en accompagnement d’un plat de poulet ou de viande en sauce). Le Gari cuit est un accompagnateur idéal des plats en sauce et on apprécie beaucoup son goût et sa consistance.

Soirée du Nouvel An

Le Tanganyika, votre restaurant du mélange à Paris, vous propose sont menu du nouvel an pour le 31 décembre 2008. Ce menu proposera notre apéritif maison en guise de bienvenue, une entrée, un plat principal, un dessert, un verre de vin d’un grand cru et une coupe d’un excellent champagne pour fêter une nouvelle année pleine d’amour, de joies et de santé.

ENTRÉE
* Cubes de thon à la Mangue.
* Foie gras aux figues.

PLAT PRINCIPAL
* Magret de canard et sa déclinaison de patates douces.
* Insurrection de gambas sur dos de Capitaine (poisson).

DESSERT
* Ananas Victoria rôti au miel de vanille.
* Farandole de fruits exotiques frais.